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Faire de la filière Coton-Anacarde « la seconde mamelle de l’économie ivoirienne », prochain défi pour le DG du Conseil
07.12.2015

Faire de la filière Coton-Anacarde « la seconde mamelle de l’économie ivoirienne », prochain défi pour le DG du Conseil

Selon le Directeur-General du Conseil Coton/Anacarde, la Cote d’Ivoire envisage de renforcer les capacités des transformateurs locaux du cajou. En plus du cacao, la filière coton-anacarde participe à hauteur de 5% de la richesse nationale. Dans les deux années à venir, la filière va contribuer  à 10% de la richesse nationale . A cet effet un projet de transformation de l’anacarde est prévu l’année prochaine. Pour ce qui est des équipements pour booster la transformation, le transfert  de ceux-ci sera assuré entre une Université en Asie et l’Institut national polytechnique Houphouët Boigny.

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Faire de la filière Coton-Anacarde « la seconde mamelle de l’économie ivoirienne », prochain défi pour le DG du Conseil



La 7e conférence internationale de la noix de cajou au Vietnam
26.11.2015

La 7e conférence internationale de la noix de cajou au Vietnam

Étaient notamment présents des représentants de l'Association des industries alimentaires (AFI), ​du Conseil du coton et de l'anacarde (CCA) de la Côte-d'Ivoire, du Conseil tanzanien de la noix de cajou (CBT) et d’autres associations de la noix de cajou du Nigéria, de Tanzanie, de Côte-d'Ivoire, etc.

Lors de ​cette conférence intitulée "La noix de cajou du Vietnam s’oriente vers une production plus propre", l’Association de la noix de cajou du Vietnam (VINACAS) a présenté des réalisations remarquables obtenues par ce secteur du Vietnam de même que ses orientations de développement futures.

La 7e conférence internationale de la noix de cajou au Vietnam



Célébration des réalisations conjointes dans le secteur du cajou: Un atelier de restitution sur les activités du cajou au Burkina Faso.
25.11.2015

Célébration des réalisations conjointes dans le secteur du cajou: Un atelier de restitution sur les activités du cajou au Burkina Faso.

Depuis son début en 2009, iCA et ses partenaires travaillent à promouvoir un secteur du cajou africain durable pour la réduction de la pauvreté, avec des interventions axées sur quatre principaux domaines : La production, la transformation, l’établissement des liens d’affaires, et l’analyse du secteur. L’iCA et ses partenaires peuvent déjà célébrer un bon nombre de réalisations.

Dans le domaine de la production, iCA et ses partenaires travaillent à promouvoir le revenu des producteurs en augmentant la productivité à travers des formations sur les bonnes pratiques agricoles, Récoltes et Post-récoltes, La gestion des cultures et l’établissement de nouveau vergers. A ce jour, 387 181 producteurs ont reçu au moins deux formations, et    116 113 autres ont été formés sur un seul thème. Hors mis ce nombre, 45 118 producteurs entièrement formés et 10 512 de producteur partiellement formés sont du Burkina Faso. Ces formations ont été faites par subvention locale avec les différentes Directions Régionales de l’Agriculture des Hauts-Bassins, des Cascades, du Sud-Ouest et avec l’Union des Groupements des Producteurs d’Anacardes de la Sissili (UGPAS) pour ce qui concerne le Centre Ouest.

Pour un accroissement durable du rendement et de la qualité des noix de cajou, iCA collabore avec les institutions de recherches telles que l’INERA et le CNSF pour développer de matériels végétal améliorés et pour faciliter des échanges de connaissances régionales. Afin d’établir une industrie de transformation viable, iCA soutien les transformateurs avec le service de développement des affaires et avec d’autres mesures de renforcement de capacités. Actuellement l’industrie de la transformation au Burkina Faso emploi en moyenne 2 050 travailleurs dont 70% de femmes.  

Dans les objectifs de sa composante 3, l’initiative aide à la création des liens d’affaires durables parmi les acteurs à travers son Fond de Contrepartie du Cajou. Cinq projets au Burkina Faso sont présentement exécutés par GEBANA, ANATRANS, INERA, CNSF et UNPA  à travers les liens d’affaires, la formation des producteurs et le développement de matériel végétal amélioré.

Au regard de l’organisation du secteur, l’initiative encourage les dialogues publics-privés dans le renforcement du secteur dans le soutien au développement de politiques et des activités dans le secteur du cajou et l’organisation de conférences nationales et régionales.

A l’approche de la fin de la  deuxième phase de l’initiative du Cajou Africain,  des évaluations internes et externes de ses activités et impacts ont été entreprises au Burkina Faso, en Côte d’ivoire et au Ghana.

Globalement le projet a été évalué avec succès et une troisième phase du projet a déjà été approuvée par  le Ministère Fédérale de l’Economie et du Développement Allemand (BMZ). Dans sa prochaine phase, iCA veut consolider son impact dans le secteur, tout en faisant une mise en échelle de son champ d’application aux autres pays de l’Afrique Caraïbe et Pacifique.  L’équipe d’évaluation a recommandé que l’initiative intensifie son soutien dans la recherche à travers le développement de matériel végétal amélioré, aussi de promouvoir la consommation locale du cajou et de ses sous produits et accroitre les échanges dans le secteur au niveau national et régional.  

Les potentiels bailleurs de fonds de la troisième phase du projet sont le Secrétariat du Groupe des États d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP) de l’Union Européenne et les nouveaux partenaires privés et publics existants.

Communiqué de Presse Journal, Sidwaya

Communiqué de Presse Journal, L'Observateur



Filière anacarde : Le projet Coraf pour booster le secteur et lutter contre la pauvreté
21.08.2015

Filière anacarde : Le projet Coraf pour booster le secteur et lutter contre la pauvreté

Des acteurs de la filière anacarde sont en atelier à Bobo-Dioulasso dans le cadre du projet CORAF anacarde. Ils ont procédé au « lancement du projet renforcement des capacités des acteurs de la chaîne de valeur anacarde en Afrique de l’Ouest » les 18 et 19 août 2015. Financé par CORAF/ WECARD et son partenaire GIZ, ce projet entend miser sur cette filière pour combattre la pauvreté. L’Institut de l’environnement et de recherches Agricoles du Burkina Faso (INERA) est le principal partenaire technique de ce projet.

En savoir plus: Filière anacarde : Le projet Coraf pour booster le secteur et lutter contre la pauvreté



Ghana : un éventuel embargo sur les exportations d’anacarde divise producteurs et transformateurs
18.08.2015

Ghana : un éventuel embargo sur les exportations d’anacarde divise producteurs et transformateurs

Au Ghana, le torchon brûle entre les producteurs d’anacarde et les transformateurs nationaux de la noix. Ces derniers ont récemment exigé du gouvernement de placer un embargo sur les exportations de noix de cajou afin de résoudre le problème de manque de matière première auquel ils sont confrontés. Cette requête n’a pas manqué d’irriter les producteurs qui y voient une manœuvre des transformateurs de contrôler les prix et de ne pas s’aligner sur les cours internationaux de la denrée.

En savoir plus: Agence Ecofin



Côte d’Ivoire: la filière de la noix de cajou réalise un chiffre d’affaires de 337 milliards FCFA en 2015
27.07.2015

Côte d’Ivoire: la filière de la noix de cajou réalise un chiffre d’affaires de 337 milliards FCFA en 2015

Selon le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné, le Conseil des ministres délocalisé qui s’est tenu, jeudi soir, à Séguéla (Nord-Ouest) a permis au ministre de l’agriculture de faire une communication portant sur le bilan de la commercialisation de la noix de cajou.

« Le chiffre d’affaire de l’ensemble de la filière noix de cajou est passé de moins de 200 milliards de FCFA en 2013 à 337 milliards FCFA en 2015, soit une hausse de 68% pour un accroissement de volume sur la période de l’ordre de 25% », a déclaré M. Koné, soulignant que « dans le même temps les revenus distribués aux producteurs sont passés de 75 milliards de FCFA à 256 milliards de FCFA » en 2015.

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Le 4ème appel de propositions du Fonds de Contrepartie de Cajou commence aujourd’hui
07.01.2015

Le 4ème appel de propositions du Fonds de Contrepartie de Cajou commence aujourd’hui

1. Le fonds de contrepartie de cajou

L'adoption de bonnes pratiques agricoles assure une meilleure qualité de noix de cajou brutes, tandis que des liens stables et fiables entre les agriculteurs, les transformateurs et les acheteurs est extrêmement essentiel pour la compétitivité de noix de cajou d'Afrique. Ces sont les enseignements que le projet de coopération internationale allemande (GIZ) initiative africaine de cajou (ACI) et l'Initiative pour le commerce durable (IDH) tirées des années de mise en œuvre des interventions du secteur de cajou.

Le Fonds de contrepartie de cajou de iCA a été lancé en Septembre 2012 pour tirer parti des contributions de processeurs, les organisations agricoles et les acheteurs et / ou détaillants, ainsi que les institutions de recherche publique, pour leur permettre de mettre en œuvre des interventions ou des actions spécifiques qui conduisent aux résultats souhaités pour le secteur de cajou. Le Fonds de contrepartie de cajou d’iCA est un modèle de partenariat public-privé unique et le seul fonds pour le cajou dans le monde entier.

Le Fonds de contrepartie est géré par l'initiative de Cajou Africain (iCA), et été mandatée par la Fondation de Bill & Melinda Gates et le ministère fédéral de la Coopération économique et du Développement avec la participation de IDH - L'Initiative pour le commerce durable. Le Fonds de contrepartie de cajou d’iCA soutient la mise en œuvre des activités dans le cadre de matériels végétales améliorés ou de renforcement de la chaîne d'approvisionnement de cajou africaine. Suite au premier appel en Septembre 2012, et les appels suivants en 2013 et en 2014, il y a actuellement 18 projets des liaisons entre producteurs et acheteurs ou transformateurs et de recherche. Plus de 30 partenaires mettent en œuvre des projets d'un montant de $ 12,18 millions dont $ 4,54 millions est apporté par le Fonds de contrepartie. Grâce au Fonds, environ 150 000 producteurs de cajou sont soutenus dans quatre pays - le Bénin, le Burkina Faso, le Ghana et le Mozambique.

2. Plan de 4ème Appel

Appel  des concepts ou des propositions complètes, du 6 au 24th Janvier 2015 suivie d'une période d'examen et de prise de décision, du 25 au 31 Janvier 2015. La passation de contrats de projets réussis sera fait ensuite. La mise en œuvre du projet commence à partir du 1er Mars 2015.

3. Résultats attendus et activités clés:

A. l'ensemble des résultats attendus:

- Amélioration de la qualité et la quantité de noix de cajou produites, et ainsi d'amandes produit

- Le transfert de connaissances amélioré aux producteurs de cajou

- Des liens et des partenariats forts entre les acheteurs/les transformateurs et les producteurs (des liens commerciaux efficace avec les agriculteurs)

- Renforcement des compétences entrepreneuriales de propriétaires et de personnel des usines de transformation

- Amélioration de l'accès aux marchés (accès aux prix et aux informations sur la production, etc.)

- Amélioration de la chaîne de valeur / d’approvisionnement de la noix de cajou

 

B. activités clés par zone du projet et financement des partis:

 

Les renseignements complémentaires sur la boîte 6, services de développement commercial:

Le soutien services de développement commercial aux transformateurs vise à renforcer les pratiques de gestion des transformateurs et améliorer leur tenue de dossiers et de planification, afin de leur permettre d'établir des liens directs avec le secteur financier pour une amélioration de l'accès à l'investissement et fonds de roulement. La formation de services de développement commercial doit inclure des modules de gestion financière, des procédures administratives, gestion des ressources humaines, l'analyse des tendances du marché, et la planification d'entreprise, entre autres, et devrait être délivré par un société de conseil ayant une expérience pertinente et des compétences en matière d'audit, la comptabilité et la gestion financière.

 

Exigences:

- Entités admissibles qui peuvent s'associer pour présenter une demande pour le Fonds des contreparties de cajou sont:

i) les transformateurs des noix et des pomme de cajou, ii) organisations agricoles, iii) les acheteurs / commerçants qui achètent des amandes ou des produits dérivés de pommes de cajou de l'Afrique, iv) les détaillants internationales d’amande, et v) des organisations du secteur privé.

- Les entités partenaires doivent avoir des opérations actuelle dans la transformation de la noix de cajou en Afrique ou dans l'achat / de vente au détail d’amandes de l'Afrique lors de leur application;

- le ratio de financement: ratio de fonds de contrepartie de  € 1 fonds publics (40% = maximum de notre part) au € 1,5 financement privé (60%) pour les projets. Ceci vaut pour les PPP, en ce qui concerne l’AG, nous avons essentiellement un ratio de 50% : 50%

- Subvention maximale qui peut être demandé du fonds de contrepartie € 200,000, -;

- Les transformateurs qui s’appliquent doivent minimalement répondre aux normes AFS, et devraient rendre compte sur les progrès allé au-delà.

- Les entreprises privées participant au Fonds de contrepartie doivent payer des frais d'adhésion à l'ACA.

- Durée du projet de 12 mois maximum (03.01.2015 - 29.02.2016);

- Une demande doit être faite par au moins deux entités si elles sont deux entités du secteur privé (par exemple, un partenariat entre un transformateur et  un acheteur ou un détaillant pour un projet spécifique;

- Les fournisseurs de services d'affaires pour offrir une assistance technique sont obligés de garantir une bonne qualité de toutes les activités mises en œuvre dans le cadre du fonds de contrepartie. Spécifiquement, toutes les activités impliquant la formation telle que dans les boites 3, 4 et 6 doivent être livrées par les fournisseurs de Services d'affaires ou de consultants

- La priorité est accordée aux projets dans la Côte d'Ivoire.

 

4. Comment faire une demande

Veuillez télécharger et remplir les formulaires de demande et soumettre par voie électronique avec toutes les pièces jointes à Cashewfund@giz.de. En cas de questions veuillez nous contacter par la même adresse e-mail.